Suprême aveu

Image credit: © 2021 Enguerrand Dubroca – CCØ Café-concert des Ambassadeurs en 1890, par Hippolyte Blancard – Paris Collections / Musée Carnavalet

Cette chanson est dédiée à une certaine « Victorine J*** », qui devait certainement être l’une des jeunes femmes montmartroises suivant fidèlement l’artiste dans ses représentations et que Paul Delmet se plaisait à remercier de la sorte. Dédicaces qui renforçaient encore l’attachement du public féminin à l’artiste. Il a été dit que la musique de Paul Delmet était destinée à un public de femmes. Il s’agit de méchants bruits, certainement sortis de la bouche de quelque collègue envieux. Sa musique touchait tout le monde ! Les femmes autant que les hommes. Les plus jeunes comme les plus âgés. Les ouvriers comme les bourgeois. Chanter l’amour peut sembler convenu, d’autant plus pour un compositeur français. Mais lui a su renouveler le genre, et lui redonner une noblesse populaire sans céder à la fadeur ou la facilité.

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Compositeur : Paul Delmet
Paroles : Vadorin de Volgré
Chant : Enguerrand Dubroca
Piano : Yuko Osawa
℗ 2021 Enguerrand Dubroca, sous licence exclusive à Salis & Cats, editions.

Enguerrand Dubroca
Enguerrand Dubroca
Fondateur du label
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Ténor